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Les autels de Terpsichore sont, ici, soigneusement entretenus, ou, pour parler un langage moins métaphorique, l’art de la danse est compris et exprimé par le Coréen d’une façon bien supérieure à celle dont il ressent les autres arts.
Il y a, pour cette branche artistique, une école d’enfants, absolument comme à notre Académie nationale de musique, et les « rats » coréens ne le cèdent en rien aux rats français.
À côté de cette école se présente celle des acrobates et des jongleurs. Elle est considérée comme inférieure, bien que quelques-uns de ces pitres soient d’une adresse et d’une agilité peu ordinaires.
Bayadères, chanteuses et danseuses ; enfants, jon-