Cette page n’a pas encore été corrigée
téléphoner à l’un de mes amis qui est commissaire de police au quai des Orfèvres.
La jeune fille eut un sourire crispé.
— Mais non, ne craignez rien, vous n’êtes pas en cause. Il faut quand même s’informer si l’histoire de votre mystérieux personnage est vraie. Vous n’aurez pas besoin d’aller à Lambaréné pour le savoir.
Fourcaud fit le numéro.
— Le commissaire Noël, s’il vous plaît… C’est personnel… Noël ? Ici Fourcaud… Ça va, je te remercie… Pourrais-tu me recevoir ce matin ou cet après-midi ?… Une histoire assez curieuse… Avant d’alerter la police, j’aimerais avoir ton opinion… À quatre heures à ton bureau… Entendu… Merci.
Il raccrocha.
— Noël me recevra cet après-midi, venez me chercher ici vers trois heures et demie.