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Page:Verne - Le Village aérien, Hetzel, 1918.djvu/95

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Et ses compagnons les répétèrent après lui.

Au fond, ce projet convenait à Max Huber : s’aventurer à l’intérieur de cette immense forêt, impénétrée jusqu’alors, sinon impénétrable… Peut-être y rencontrerait-il enfin cet extraordinaire que, depuis trois mois, il n’avait pas trouvé dans les régions du haut Oubanghi !