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LES MAUVAIS CHEMINS DE L’ANGOLA
Un nouvel éclair permit d’observer. (Page 222.)
— Nous y arriverons bientôt, mon Jack, répondit Mrs Weldon… Oui… bientôt !
— Voulez-vous que nous repartions ? dit alors Dick Sand, pour couper court à cette conversation.
— Oui, Dick, en route ! » répondit Mrs Weldon.
Le campement fut levé et la marche reprise dans le même ordre. Il fallut passer à travers le taillis, afin de ne point abandonner le cours de la rivulette. Il y avait eu là quelques sentiers, autrefois, mais ces sentiers étaient « morts », suivant l’expression indigène, c’est-à-dire que ronces et broussailles les avaient envahis. On dut faire un mille dans ces pénibles conditions et y employer trois