Page:Verrier - Essai sur les principes de la métrique anglaise, 2e partie, 1909.djvu/37

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nirKRi rcTioN de la aiesure visiki.i.e dk i, espace

féreiicc niovoniine oiitio intervalles succcssli's est de -"^"',:>. : r>\

Elle représente le 17'" de l'unité. Je l'indique par cette l'orniule : ^/. /;/. i.s.

(diflerence moyenne entre intervalles successils) = _• Ces deux lorniidcs

expriment d'une manière difl'érente et en se complétant l'erreur movenne du rythme réel, le denré d exactitude atteint dans la léalisation du rythme idéal et absolu. Elles permettent de comparer entre eux deux ivthmes réels quelconques.

Nombre des intervalles éoaux entre eu\ :

4 de G'"'" \ de ,"),.") 3 de 5,0

9. de 6,9 •.'. de 5,7 ■j de 5,2

Dans tous ces, cas l'égalité n'est sans doute (pi apj)roximative : elle dispa- raîtrait à coup sûr, non seulement si je descendais jusqu'aux centièmes tle millimètre, mais encore si je pouvais mesurer les dixièmes avec plus d'exactitude. En revanche, l'inexactitude de mes mesures a pu en d'autres cas augmenter les difïcrences réelles.

Quoi qu'il en soit, malgré l'impcrrcction de ces égalités partielles, malgré même les dilTérences fortement accusées (D et d), on peut dire que les 9.:i intervalles sont sensiblement égaux entre eux. C'est l'impression qu'on a quand on parcourt rapidement du regard la série de traits verticaux, et cette impression subjective donne bien la sensation du rythme (i).

Les nombres trouvés par mes mesures montrent que rinlerxallr rythmique va en diminuant, c'est-à-dire que le rythme s'accélère.

i; '22. M. I. a renouvelé l'expérience ; mais cette fois l'intervalle fixé était plus petit :

1. -A" (25/1/07) l

Em'kuikxci: 11

nrnTffnr

/|3 traits verticaux, formant V^ intervalles.

Intervalle fixé : 2 millimètres.

Intervalles obtenus : 2 — 2,5 — 2,2 — 2./i — 2,3 — 2,5 — 2,1 — 2,2 —

2 2,3 2,1 2,2 2,5 2 2,/j 2 2,2 2,5 2 1,1)

— 2,1 — 2 — 2,'i — 1.9 — 2,1 — 1,5 — 2 — 2 — 2 — 2,5 — 2,2 — 2 — 1,8 — 2,3 — 2,1 — 2 — 2,2 — 1,5 — 2,1 — 1,8 — 2,1 — 2,5. S = 89, /( R = 92 S — R = 2,0

(i) On sait qiu; los pcMiplcs primilil's (Mriplcjicril soiivont roinmf onifmfnl ro rvllmic cvlrrinc- mcnt simpli! de traits i(jiii<lislants. \. (Grosse, dlc Anfiimic ilcr hurist, lril)oiiri: «'ii Hrisgau, 189/1, p. 121 et 126.