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Page:Vicaire - Émaux bressans, 1889.djvu/281

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CIMETIÈRE DE CAMPAGNE. 271

« Cher poète sans malice, Diront-ils en se signant, C’est là qu’il dort maintenant ;

   Que Dieu le bénisse ! 

Jamais il n’a fait affront A qui l’invitait à boire. » — Et pour fêter ma mémoire,

   Ils s’embrasseront !