Page:Victor Alfieri, Mémoires, 1840.djvu/524

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
Chapitre XXX. Je développe mes comédies en prose, un an après en avoir fait le plan. — Je laisse passer une autre année avant de les mettre en vers. — Ce double travail altère profondément ma santé. — Je revois l’abbé de Caluso à Florence. 
 485
Chapitre XXXI. Mon intention sur toute cette partie de mes œuvres inédites. — Las, épuisé, je renonce à toute entreprise nouvelle. — Plus propre désormais à défaire qu’à faire, je sors volontairement de la quatrième époque de ma vie, et à l’âge de cinquante-cinq ans et demi, je me constitue vieux, après vingt-huit ans passés presque tout entiers à inventer, à vérifier, à traduire, à étudier. — Vain, comme un écolier, d’avoir à peu près surmonté la difficulté du grec, je crée un ordre nouveau, et je m’arme chevalier d’Homère, de ma propre main. 
 491
Lettre de M. l’abbé de Caluso, destinée à servir de complément à ces Mémoires, avec le récit de la mort de l’auteur. 
 495



FIN DE LA TABLE.