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Chapitre XXI. Quatrième voyage en Angleterre et en Hollande. — Retour à Paris, ou les circonstances nous obligent à nous fixer. 
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Chapitre XXII. Fuite de Paris. — Retour en Italie par la Flandre et toute l’Allemagne — Nous nous fixons à Florence. 
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Chapitre XXIII. Peu à peu je me remets à l’étude — J’achève mes traductions. — Je recommence à écrire quelque petite chose de mon propre fonds. — Je trouve à Florence une maison fort agréable. — Je me livre à la déclamation. 
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Chapitre XXIV. La curiosité et la honte me poussent a lire Homère et les tragiques grecs dans des traductions littérales. — Je continue avec tiédeur les satires et autres bagatelles. 
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Chapitre XXV. Pourquoi, comment, et dans quel but, je finis par me résoudre à faire par moi-même une étude sérieuse et approfondie de la langue grecque. 
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Chapitre XXVI. Résultat inattendu de mes études un peu tardives sur la langue grecque. — Parjure à Apollon pour la dernière fois, j’écris la seconde Alceste. 
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Chapitre XXVII. Je finis le Misogallo. — Je termine ma carrière poétique parla Teleutodia. —Je recueille l’Abel, ainsi que les deux Alceste et l’Avis. — Distribution hebdomadaire de mes études — Ainsi préparé et armé d’épitaphes, j’attends l’invasion des Français, qui arrive en mars 1799. 
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Chapitre XXVIII. Mes occupations à la campagne — Départ des Français. — Notre retour à Florence. — Lettres de C… — J’apprends avec douleur qu’il se prépare a Paris une édition de mes ouvrages de Kehl, qui n’avaient jamais été publiés. 
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Chapitre XXIX. Seconde invasion. — Ennuyeuse insistance du général littérateur. — Paix telle quelle, qui adoucit un peu mes misères. — Six comédies conçues a la fois. 
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