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la dryade
Ici, je vis rouler la coupe aux flancs d’argile ;
Le chêne ému tremblait[1], la flûte de Bathylle
Brilla d’un feu divin ; la Dryade, un moment
Joyeuse, fit entendre un long frémissement[2],
Doux comme les échos dont la voix incertaine
Murmure la chanson d’une flûte lointaine[3].
Écrit en 1815[4].
- ↑ Gessner, Daphnis, l. 1er : Il m’a semblé que pendant que tu chantais, le cyprès avait agité plus fortement son feuillage.
- ↑ Var : P1, A-C2, un doux frémissement
- ↑ Gessner, Chloé : Alors il sortit de la grotte un doux frémissement, semblable au murmure de l’écho lorsqu’il répète les sons d’une flûte éloignée.
- ↑ La date viatique dans P1.