Page:Villetard de Laguérie - La Corée, indépendante, russe, ou japonaise.djvu/141

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des chefs-d’œuvre de tourneur, hantent l’esprit et laissent dans l’œil une impression presque pénible. La réputation de férocité acquise à la Reine fait papilloter des flaques rouges sur la terre et bourdonner

SOLDATS CORÉENS.

dans les oreilles des cris d’horreur ou d’agonie. Le « noir recruteur des ombres » plane sur cet archipel de toitures. L’onde du vent, qui glisse sans arrêt du Pouk-han au Nam-San sur la ville, fait rendre aux charpentes les murmures et les sanglots d’une