bre. Elle offre deux aspects : l’Équilibre latéral et l’Équilibre circulaire. Vous connaissez, n’est-ce pas, les trois équilibres, en physique : le stable, l’instable et l’indifférent : c’est leur unité qui maintient les mobilités de l’Andréïde. Vous allez voir que, pour faire tomber Hadaly, il faudrait une plus forte poussée que pour nous, à moins, toutefois, que vous ne désiriez, seulement, qu’elle tombe !
V
L’Équilibre
― L’Équilibre, donc, se produit ainsi, poursuivit le deus ex machinâ. ― Voici, d’abord l’équilibre latéral ; l’autre, inclus dans l’armure dorsale même, s’obtient de la même manière.
Tout d’abord, étant donnés le fluide électrique et les aimants, l’Équilibre était nécessairement possible.
Donc :
1o Quelle que soit l’attitude de l’Andréïde, la perpendiculaire passe de la clavicule supposée à la vertèbre proéminente, et de celle-ci aboutit à la malléole interne, comme pour nous.
2o Quelle que soit la mobilité de ces deux pieds « adorables », ils constituent perpétuellement les deux extrémités d’une droite horizontale sur le milieu de laquelle s’abaisse toujours une verticale,