Page:Vivien - Une femme m’apparut, 1905.djvu/157

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Je cueillis un iris blanc. Je disais : « Cette fleur va mourir, comme Ione… Elle meurt déjà, comme Ione… Elle est morte, comme Ione… »

… J’entrai dans la maison qui prenait déjà la couleur de cendre des demeures funèbres… Et l’on m’apprit, en pleurant, que la chère Ione venait de mourir.