Page:Vivien - Une femme m’apparut, 1905.djvu/201

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

For I would dance to make you smile, and sing
Of those who with some sweet mad sin have played…
And how Love walks with delicate feet afraid
CCCCC’Twixt maid and maid…


Vous avez dû cueillir cette chanson sur les lèvres passionnées d’une amie…

— J’aime l’amour des femmes et celui des hommes, » avoua-t-elle. « Je ne partage point le farouche exclusivisme de ces femmes qui, pour l’amour des femmes, haïssent et méprisent l’amour des hommes. Mais je préfère le plus souvent à la rude véhémence des hommes l’incomparable tendresse féminine. »

Je la considérai.

« Joli poème de porcelaine, de quels mots assez délicats vous dire ma reconnaissance ? Je revis, pour avoir rencontré sur ma route le rêve de Saxe que vous êtes. »

Elle souriait toujours, sans répondre. Je con-