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Page:Vivien - Une femme m’apparut, 1905.djvu/222

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XXXIX


Un an plus tard, le soir d’été, blanc de clématites, nous réunissait dans la bibliothèque où l’on respirait une odeur charmante de fleurs fanées et de bois ancien. Sur la cheminée, auprès du portrait d’Ione, se penchaient des violettes blanches.

Éva me dit à voix basse :

« L’heure est très grave. De l’inconnu entre par la fenêtre ouverte… »