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poésies mêlées j où quelques éditeurs les ont conservées; mais je doiï compte dos raisons qui mont déterminé. Le quatrain commençant par :
Si Pygmalion la forma, etc.,
l'ait partie de la lettre l\ d'Argental, du 12 février 1764. Le quatrain ii l'abbé de Sade :
On brûlait autrefois les gens, etc.,
n'est qu'une variante de six vers de la lettre du 29 août 1733. Les \ers adressés au comte de Sade :
Vous suivez donc les étendards, etc.,
sont rapportés dans la lettre à l'abbé de Sade, du 3 novembre 1733. Les huit vers à M°" d'Aiguillon :
Deux héros différents, l'un superbe et sauvage, etc.,
sont un fragment d'une lettre à cette dame, à la date de 1734. Cinq vers au marcpiis de Valory :
Modeste et généreux, Louis nous fait chérir, etc.,
n'étaient qu'un passage de la lettre du ]"" mai 174o. C'est dans la même lettre que se trouve le quatrain : ■
Apollon chez Admète autrefois fut berger, etc.
Cinq vers sur le jésuite qu'on disait roi du Paraguay :
Du boa Nicolas Premier, etc.,
sont dans la lettre à Bertrand, du 10 novembre 1739. Un huitain sur Ovide, Catulle et Tibulle :
Celui qui fut puni de sa coquetterie, etc.,
fait partie d'une épître qui est page 294. Le quatrain à M"" du Barry :
Votre portrait, etc..
est un des trois qui sont dans la lettre du 20 juin 1773. Le Imitain :
Autrefois, pour pa^er le zèle, etc.,
est dans une lettre à M""= de Champbonin. de 1734.
Les deux quatrains :
Dans ce saint temps nous savons comme, etc. , et
Je ne suis plus jaloux, mon crime est expié, etc.,
font partie de la Lellre sur un écrit anonyme^ qui est dans les Mélanges.
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