Page:Voltaire - Œuvres complètes Garnier tome10.djvu/515

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POÉSIES MÊLÉES. oOo

Un autre point qui lait ([ue jo l'encense, C'est que l'on dit qu'il est uuAÎtre des cœurs. Bien mieux que lui vous y régnez, Thémire ; Son règne au moins n'est pas de ce séjour; Le vôtre en est, c'est celui de l'amour : Souvenez-vous de moi dans votre empire.

��84. — A LA MÊME,

lorsqu'elle apprenait l' a l 6 1: b r e.

Sans doute vous serez célèbre Par les grands calculs de l'algèbre

��Oïl votre esprit est absorbé : J'oserais m'y livrer moi-même ; Mais, hélas ! A + D — R N'est pas = à je vous aime.

��85. — IMPROMPTU 1.

(1735)

Sais-tu que celui dont tu parles D'Apollon est le favori, Qu'il est le Ouint-Curce de Charles Et l'Homère du grand Henri?

8G. — VERS

ÉCRITS AU BAS d'uNE LETTRE DE MADAME DU CHATELET A MADAME DE CH A M P B O N 1 N.

(1735)

C'est l'architecte - d'Emilie Qui ce petit mot vous écrit ;

1. Verrières, qui rapporte cet impromptu à la page 9 de son Épître à M. de Voltaire^ 1736, in-8", dit qu'il fut fait pour réponse au portrait en prose que l'on avait fait de \oltairc l'année précédente. Les éditeurs de Kchl avaient fait de cet impromptu une note de la seconde version du n° 105; voyez page 513.

2. On bâtissait alors le château de Cirey; et Voltaire dirigeait l'ouvrage.

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