Page:Voltaire - Œuvres complètes Garnier tome27.djvu/470

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xlv. — évangile selon les syriens.

On n’en sait que le nom, qui se trouve dans Eusèbe[1] et saint Jérôme[2]. Fabricius cite aussi[3] une ancienne version syrienne de l’Évangile de Nicodème.


xlvi. — évangile de tatien.

C’est le même que celui des encratites, n° xii.


xlvii. — évangile de thaddée.

Il en est parlé dans le décret de Gélase et dans Eusèbe[4].


xlviii. — évangile de thomas.

C’est le premier des manichéens, n° xxv. Son nom se trouve avec celui de Mathias dans les auteurs cités n° xxxvii.


xlix. — évangile de valentin.

Voyez ce qu’en dit saint Irénée, cité dans la préface.


l. — évangile vivant.

C’est le second Évangile des manichéens, n° xxvi.




Voici maintenant l’Évangile de la naissance de Marie, dont nous avons parlé, n° xxxi de la notice alphabétique.


ÉVANGILE


DE LA NAISSANCE DE MARIE[5].


I. —[6]La bienheureuse et glorieuse Marie toujours vierge, de la race royale et de la famille de David, naquit dans la ville de

  1. Hist. eccles., I. IV, ch. xxii. (Note de Voltaire.)
  2. In catalogo. (Id.)
  3. T. I, p. 254. (Id.)
  4. Hist., I. I, chap. xiii. (Id.)
  5. Voyez ci-dessus, page 459, les nos xxix, xxx et xxxi.
  6. Les dix articles qu’on lit ici sont la traduction entière de la pièce telle que