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Prend soin, du haut des cieux, du destin des États,
Si tu m’as élevé, ne m’abandonne pas.
Je t’imitai du moins en fondant un empire,
En y donnant des lois ; et ma douleur n’aspire,
Au bout de la carrière où je touche aujourd’hui,
Qu’à venger mon cher fils, qu’à tomber avec lui.
FIN DU TROISIÈME ACTE.