Page:Voltaire - Œuvres complètes Garnier tome9.djvu/309

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VARIANTES

DU CHANT DIX-HUITIËxME.

��Vers 21, 22. — Première édition; on lisait entre ces deux vers Son mauvais sort contre lui s'obstina.

��Vers 47 : Vers 67 : Vers 108 :

Vers 118 : Vers 139 :

��(I Marchons, bâtard! avançons! faisons voir. » Qui dans Paris connus pour leur mérite.

��" Quel est ton nom, mon pauvre misérable, Lt ton métier? et pour quelle action Le Cliàtelet, avec tant d'indulgence, T'envo^ait-il sur les mers de Provence? »

��Un tondre soin des plus jolis enfants.

��Point ignorant, point brouillon, point mentiur.

��Vers 148. — Première édition :

��<i Ce Vacerac i est tout pétri de miel ; Ah ! l'honnête homme ! indulgent, pacifique, Doux, charitable, et surtout véridique! Tous ces savants, dignes de mes lauriers. Grands écrivains, Cicérons des charniers. Sont comme moi victimes de l'envie. On nous accuse, et bien mal à propos. D'avoir commis quelques crimes de faux-; Mais la vertu fut toujours poursuivie. » (K.

��1. Caveyrac ■ (R )

2. Nous entendons ici par crime de faux toutes les fausses citations que ces délateurs allt- guaient incessamment. Peut-être aussi furent-ils condamnés comme faussaires. (i\ole de Vol- taire, 1~64.)

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