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VARIANTES DU POUR ET DU CONTRE.

À de nouveaux humains, à des cœurs innocents,

De sa lente sagesse aimables monuments.
Non, il tire de la poussière
Un nouveau peuple de Titans,
Une race livrée à ses emportements.

Plus coupable que la première.
Que fera-t-il ? quels foudres éclatants, etc.

Vers 52 :

. . . . . . . . . . . . Il veut prendre naissance.

Vers 57

Il prêche enfin le peuple iduméen.

Vers 66

Quand remontant aux cieux il reprend son courroux.

Vers 68

Et quand par ses fureurs.

Vers 74

Assis dans la nuit du mensonge
De ces obscurités où lui-même les plonge.

Vers 81

Vous que l’erreur nourrit dans un profond sommeil,
Vous serez donc un jour à sa fureur livrées
Pour n’avoir pas su qu’autrefois
Sous un autre hémisphère, aux plaines idumées.
Le fils d’un charpentier expira sur la croix.
Non, je ne connais point à cette indigne image...

Vers 90 :

Par un si criminel hommage.

Vers 92 :

Ma voix pitoyable et sincère.

Vers 94 :

Mon cœur est ouvert à tes yeux :
On te fait un tyran, je cherche en toi mon père :
Je ne suis pas chrétien, mais c’est pour t’aimer mieux.
Ciel ! ô ciel ! quel objet vient de frapper ma vue !

Je reconnais le Christ puissant et glorieux.
Auprès de lui, dans une nue,
Sa croix se présente à mes yeux ;
Sous ses pieds triomphants, etc.

Vers 119 :

Crois que ta bonne foi, ta bonté, ta douceur
Ne sont pas les objets de sa haine immortelle.

Vers 126 :

Ou qu’un prélat ambitieux.

Vers 130 :

. . . . . . . . . . . . C’est par nos injustices.