voilà ce qui m’afflige. Vous n’êtes pas souffrante vous-même, j’espère ? Rassurez-moi ! . . .
Mille compliments cordiaux à Wesendonk !
Il aura bientôt de mes nouvelles.
Adieu, et portez-vous bien !
111.
Vite un cordial salut à la chère enfant ! Et un peu de consolation ! . . .
Depuis une semaine, ma convalescence a fait de grands progrès. Les forces reviennent, la mine est meilleure : on me trouve le regard plus vif…
C’était donc là un sérieux avertissement. Il m’a fait grande impression : je m’arrange soigneusement mon avenir, pour pouvoir remplir la tâche de ma vie. J’espère, pourtant de nouveau, pouvoir m’en acquitter !
Êtes-vous plus satisfaite, chère et fidèle amie ?
Pour Tannhäuser, nous voulons attendre encore. Je ne dirige pas l’orchestre moi-même, et, une fois quitte des répétitions, je suis quitte de tout !…
À bientôt de plus amples nouvelles du Vivant.