Page:Wailly – La Folle ou Le Testament d’une Anglaise, 1827.djvu/34

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ARTHUR, qui a conduit Anna, lui frappant sur l’épaule.

Eh bien ! Caleb, tu ne me montres pas la chambre du prince Édouard ?

CALEB.

Pardon, mylord, je suis à vous.




fin du premier acte.