Page:Wailly – La Folle ou Le Testament d’une Anglaise, 1827.djvu/78

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ANNA.

Je n’ai pas tant de mérite que vous le croyez… Williams…

ARTHUR.

Je vous comprends… Pardon ; combien vous avez dû m’en vouloir.

(Il lui baise la main.)

Scène XII.

WILLIAMS, ANNA, ARTHUR, CÉCILE, CALEB.
WILLIAMS.

Parbleu ! si c’est pour cela que vous me faites revenir…

ANNA, l’apercevant.

Ah ! mon cher Smith, soyez témoin…

WILLIAMS.

Morbleu ! j’en ai déjà trop vu.

ARTHUR.

Monsieur Smith ; sachez…

WILLIAMS.

Je ne veux pas en savoir davantage.

(Il veut sortir.)
CÉCILE, s’avançant vers lui, et mettant sa main dans celle d’Anna.

Tenez, vous n’y entendez rien : vous et ma sœur ; Arthur et moi.

WILLIAMS.

Est-il possible !…