Page:Wash Irving voyage dans les prairies.djvu/304

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Nous passâmes la nuit à l’agence, où nous fûmes passablement logés ; cependant nous nous étions si bien accoutumés, depuis quelques semaines, à dormir en plein air, que, dans le premier moment l’emprisonnement d’une chambre nous fut désagréable.

Le lendemain je pris, avec mon digne ami le commissaire, le chemin de Fort Gibson, où nous arrivâmes assez mal en ordre, déguenillés, hâlés, un peu courbaturés, mais, à cela près, parfaitement sains, gais et gaillards. Ainsi finit ma croisière sur les territoires de chasse des Pawnies.



FIN.