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Page:Zola - Naïs Micoulin, 1884.djvu/186

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étoiles luisaient dans un bleuissement de velours. Par moments, un vent qui se levait m’apportait une tiédeur de printemps, une odeur d’arbres. Grand Dieu! j’étais sauvé, je respirais, j’avais chaud, et je pleurais, et je balbutiais, les mains dévotement tendues vers l’espace. Oh! que c’était bon de vivre!