Page:Zola - Thérèse Raquin, Lacroix, 1868.djvu/202

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de l’autre monde. Ce soir, tu tâcheras d’être gaie et de ne pas m’effrayer.

Il se força à rire, sans savoir pourquoi il riait.

— Je tâcherai, reprit sourdement la jeune femme.

Telle fut la nuit de noces de Thérèse et de Laurent.