« Page:Antoine Loysel, Institutes coustumieres, 1607.djvu/9 » : différence entre les versions
Aucun résumé des modifications Balise : Annulation |
Aucun résumé des modifications |
||
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 12 : | Ligne 12 : | ||
{{----|60%}} |
{{----|60%}} |
||
<section begin="livre1"/> |
<section begin="livre1"/> |
||
{{ |
{{t2|{{uc|Livre premier.}}}} |
||
{{ancre|des-personnes|{{ |
{{ancre|des-personnes|{{t3|''Des perſonnes''. {{sc|Titre premier.}}}}}} |
||
{{PM|Q|VI}} veut le Roy, ſi veut la loy. |
{{PM|Q|VI}} veut le Roy, ſi veut la loy. |
||
{{c|'''II.'''}} |
{{c|'''II.'''}} |
Version du 1 avril 2024 à 09:29
Cette page a été validée par deux contributeurs.
1
INSTITVTES
COVSTVMIERES
OV
DE PLVSIEVRS ET DIVERSES
REIGLES, SENTENCES, ET PROVERBES
du Droict couſtumier & plus ordinaire
de la France.
de la France.
Livre premier.
Des perſonnes. Titre premier.
VI veut le Roy, ſi veut la loy.
II.
Au Roy ſeul appertient de prendre tribut ſur les perſonnes.
III.
Toutes perſonnes ſont franches en ce Royaume, & ſi toſt qu’vn eſclaue a attaint les marches d’iceluy, ſe faiſant baptiſer, il eſt affrãchy.
IIII.
Et ſont nobles ou roturiers.
V.
Les roturiers ſont bourgeois, ou villains.
VI.
Nobles eſtoient iadis, non ſeulement les extraicts de no-