« Page:Tolstoï - Contes et fables, 1888.djvu/59 » : différence entre les versions
Apparence
m maintenance |
Aucun résumé des modifications |
||
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
⚫ | |||
<section begin=xx1 /> |
|||
⚫ | |||
Lorsque le fils cadet sut qu’il n’avait rien à attendre, il partit pour l’étranger, où il apprit les sciences et différents métiers, tandis que l’aîné, restant auprès de son père, négligea de s’instruire, se sentant riche. |
Lorsque le fils cadet sut qu’il n’avait rien à attendre, il partit pour l’étranger, où il apprit les sciences et différents métiers, tandis que l’aîné, restant auprès de son père, négligea de s’instruire, se sentant riche. |
||
Ligne 11 : | Ligne 9 : | ||
<section end=xx1 |
<section end=xx1/> |
||
<section begin=xx2 |
<section begin=xx2/><center> |
||
<center> |
|||
=== LES TROIS VOLEURS === |
=== LES TROIS VOLEURS === |
||
Ligne 21 : | Ligne 18 : | ||
Un moujik conduisait un âne et un bouc au marché de la ville pour les vendre.<section end=xx2 |
Un moujik conduisait un âne et un bouc au marché de la ville pour les vendre.<section end=xx2/> |
Version du 6 mars 2011 à 11:23
Cette page a été validée par deux contributeurs.
le cadet n’aura rien, et ils seront pourtant aussi riches l’un que l’autre.
Lorsque le fils cadet sut qu’il n’avait rien à attendre, il partit pour l’étranger, où il apprit les sciences et différents métiers, tandis que l’aîné, restant auprès de son père, négligea de s’instruire, se sentant riche.
Lorsque le père mourut, son fils aîné, ne sachant rien faire, dissipa tout son bien, tandis que le cadet s’enrichit à l’étranger.
LES TROIS VOLEURS
HISTOIRE VRAIE
Un moujik conduisait un âne et un bouc au marché de la ville pour les vendre.