« Page:Perrault - Histoires ou contes du temps passé, avec des moralitez, 1697.djvu/234 » : différence entre les versions

La bibliothèque libre.
Phe-bot (discussion | contributions)
Wuyouyuan: split
 
État de la page (Qualité des pages)État de la page (Qualité des pages)
-
Page non corrigée
+
Page corrigée
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 1 : Ligne 1 :
petits enfans. Le Petit Poucet, estant donc chargé de toutes les richesses de l’Ogre, s’en revint au logis de son pere, où il fut receu avec bien de la joye.
petits enfans. Le petit Poucet estant donc chargé de toutes les richesses de l’Ogre s’en revint au logis de son pere, où il fut receu avec bien de la joye.


Il y a bien des gens qui ne demeurent pas d’accord de cette derniere circonstance, & qui prétendent que le Petit Poucet n’a jamais fait ce vol à l’Ogre ; qu’à la verité il n’avoit pas fait conscience de luy prendre ses bottes de sept lieuës, parce qu’il ne s’en servoit que pour courir aprés
Il y a bien des gens qui ne demeurent pas d’accord de cette derniere circonstance, & qui prétendent que le petit Poucet n’a jamais fait ce vol à l’Ogre ; qu’à la verité, il n’avoit pas fait conscience de luy prendre ses bottes de sept lieuës, parce qu’il ne s’en servoit que pour {{tiret|cou|rir}}

Version du 18 novembre 2015 à 02:01

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

petits enfans. Le petit Poucet estant donc chargé de toutes les richesses de l’Ogre s’en revint au logis de son pere, où il fut receu avec bien de la joye.

Il y a bien des gens qui ne demeurent pas d’accord de cette derniere circonstance, & qui prétendent que le petit Poucet n’a jamais fait ce vol à l’Ogre ; qu’à la verité, il n’avoit pas fait conscience de luy prendre ses bottes de sept lieuës, parce qu’il ne s’en servoit que pour cou-