Aller au contenu

« Page:Aristophane, trad. Talbot, 1897, tome 1.djvu/43 » : différence entre les versions

La bibliothèque libre.
 
État de la page (Qualité des pages)État de la page (Qualité des pages)
-
Page non corrigée
+
Page corrigée
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 7 : Ligne 7 :




{{Personnage|Premier Demi-chœur|c}} Ô Lamakhos, ô toi dont les regards lancent des éclairs, viens-nous en aide ; toi dont l’aigrette est une Gorgone, parais, ô Lamakhos, mon ami, citoyen de ma tribu. S’il y a là un taxiarque, un stratège, des défenseurs des remparts, venez vite à notre aide ; on porte la main sur moi.
{{Personnage|Premier Demi-chœur|c}} Ô Lamakhos, ô toi dont les regards lancent des éclairs, viens-nous en aide ; toi dont l’aigrette est une Gorgone, parais, ô Lamakhos, mon ami, citoyen de ma tribu. S’il y a là un taxiarkhe, un stratège, des défenseurs des remparts, venez vite à notre aide ; on porte la main sur moi.




Ligne 15 : Ligne 15 :




{{Personnage|Premier Demi-chœur|c}} Ô Lamachcos, héros redoutable par tes aigrettes et par tes bataillons !
{{Personnage|Premier Demi-chœur|c}} Ô Lamakhos, héros redoutable par tes aigrettes et par tes bataillons !





Version du 23 mars 2008 à 20:32

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.




Deuxième Demi-chœur

Où cours-tu donc ? Ne bouge pas. Si tu frappes cet homme, je te ferai danser.


Premier Demi-chœur

Ô Lamakhos, ô toi dont les regards lancent des éclairs, viens-nous en aide ; toi dont l’aigrette est une Gorgone, parais, ô Lamakhos, mon ami, citoyen de ma tribu. S’il y a là un taxiarkhe, un stratège, des défenseurs des remparts, venez vite à notre aide ; on porte la main sur moi.


Lamakhos

Quel cri de bataille me frappe l’oreille ? Où faut-il courir à l’aide ? Où dois-je lancer l’épouvante ? Qui tire ma Gorgone de son étui ?


Premier Demi-chœur

Ô Lamakhos, héros redoutable par tes aigrettes et par tes bataillons !


Deuxième Demi-chœur

Ô Lamakhos, cet homme n’en finit pas d’outrager notre ville tout entière.


Lamakhos

C’est toi, mendiant, qui as l’audace de tenir ce langage ?


Dikæopolis

Ô Lamakhos, grand héros, pardonne à un mendiant qui, en prenant la parole, a dit quelque sottise.