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Ké geton l guell d’é verli ! 9 Ha Jêzus e laras : |
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Saù. Karet ous get Doué, ral : ha fé e zo bras : |
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Ho verlm e vo guelleit delmi tuclxant. Me ya. >> |
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Eurus ha lan a lirad, Jaïrus ha seùel. |
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En al›el< d’er bare kerhet e rent goustad ; |
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Neoalï, clrê hi : monet ê tereùent tostat ; |
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Pe Zegouélias devat Jaîrus ur meùel : |
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Deit onn diarok dfols get un neuêted garù, |
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l/lestr, ne dall kct er boén rein steurm dieu Diougañner ; |
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Groeit bon és er pel : e lzellemb, rneit Cn arrêt..., |
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Devéet é en treu... hou plalxig e zo marù !>> |
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En tad ne sañnas grik, mouget én é anl-rén, |
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Et le peuple priait et criait : « Oui, oui ! - Vas avec |
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es aimé de Dieu, car ta foi est grande, — Ta fille sera |
es aimé de Dieu, car ta foi est grande, — Ta fille sera |
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guérie tout à l’heure. Je vais. » |
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Heureux et plein de reconnaissance, Jaïre de se lever. |
Heureux et plein de reconnaissance, Jaïre de se lever. |
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— À cause de la foule, ils marchaient lentement ; — |
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— Nous avons fait ce que nous avons pu, mais en vain… — |
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Version du 28 mai 2015 à 18:11
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
Et le peuple priait et criait : « Oui, oui ! — Vas avec lui ! Guéris sa fille ! » Et Jésus dit : — « Lève-toi. Tu es aimé de Dieu, car ta foi est grande, — Ta fille sera guérie tout à l’heure. Je vais. »
Heureux et plein de reconnaissance, Jaïre de se lever. — À cause de la foule, ils marchaient lentement ; — Cependant, à force d’aller ils commençaient d’approcher, — Quand arriva vers Jaïre un valet :
« Je suis venu vers vous avec une dure nouvelle, — Maître ce n’est pas la peine de déranger le Prophète ; — Nous avons fait ce que nous avons pu, mais en vain… — tout est fini… votre fille est morte. »
Le père ne répondit rien, étouffé dans sa douleur, — Mais sur ses joues des larmes coulaient silencieuses,