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U que voit son fil, si l’acole,
U que voit son fil, si l’acole,
{{NumVers|1780}}Tel joie en eut ç’à se parole
{{NumVers|1780}}Tel joie en eut ç’à se parole
Ne pot venir dedens grant tans.
Ne pot venir dedens grant tans.
Contre Roussiel li joie grans
Contre Roussiel li joie grans
Fu, c’à Troies n’ot por Elaine
Fu, c’à Troies n’ot por Elaine
Si grant. Son fil Rousiel en maine
Si grant. Son fil Rousiel en maine
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{{NumVers|1800}}Et toute li os s’apareille
{{NumVers|1800}}Et toute li os s’apareille
D’armes, qu’il cuident assali
D’armes, qu’il cuident assali
Soient. Non sont, plusior au cri </poem>
Soient. Non sont, plusior au cri</poem>

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Le Roman du Renart, 1826, tome 4-d204-Portée sans paroles
Jamais amours n’oublierai, n’onques ne fis.[1]

U que voit son fil, si l’acole,
1780Tel joie en eut ç’à se parole
Ne pot venir dedens grant tans.
Contre Roussiel li joie grans
Fu, c’à Troies n’ot por Elaine
Si grant. Son fil Rousiel en maine
Dame Emme en cambres reposer,
Et Renars fait ses gens canter
Et tous ses estrumens tentir
Et tromper por lui esbaudir ;
Et as cretiaus cierges ardans
1790Metre, k’en l’ost li clartés grans
En reluist. Li os s’en esveille,
En esveillant ont grant merveille
Dont tés clartés vient, ne por quoi
Renars le fait, mais dusqu’à poi
Le saront, car lors à urler
Prist Roéniaus et à crier :
J’ai tout perdu, traï, traï !
Mi prisounier s’en sont fui.
Li Rois Nobles au crit s’esveille
1800Et toute li os s’apareille
D’armes, qu’il cuident assali
Soient. Non sont, plusior au cri

  1. 7515 J’aim loyaument et amerai tous jours.