Discussion:Lélia (1833)

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Dernier commentaire : il y a 5 ans par *j*jac

Un problème dans la table résolu manuellement en forçant les chapitres 22, 23 et 24 mais vérifier l’export s'il se fera correctement... Sapcal22 (d) 19 septembre 2018 à 18:14 (UTC)Répondre

Notification Sapcal22 : idem pour le tome 2 ! export testé : c'est ok. --*j*jac (d) 2 octobre 2018 à 09:53 (UTC)Répondre
Notification *j*jac : Super

Statistique[modifier]

  • 105 918 mots (

Textes en relation[modifier]

Critiques[modifier]

  • Revue des Romans
  • On trouve dans sa Lélia de fort belles stances que chante Sténio, mais il est à présent admis, comme on aurait dû s’en douter plus tôt, à voir ce qu’elles ont d’élan et de feu, que c’est Musset, alors dans la première flamme de sa liaison avec elle, qui les a écrites. ==> !!!!! Souvenirs poétiques de l’école romantique 1825 à 1840
  • Revue_littéraire_-_Amours_romantiques Au moment où ils se rencontrent, George Sand vient d’achever Lélia, Musset les Caprices de Marianne
  • George Sand (Caro)/3 L’idéalité sensuelle, voilà le vice secret de presque tous les amours dans Mme Sand. Ses héros s’élèvent aux plus hautes cimes du platonisme. Mais regardez de plus près dans le cœur, vous y apercevrez un sensualisme délicat ou violent qui gâte les plus nobles aspirations. Un exemple suffira. Lélia est moins une femme qu’un symbole. Parmi tous les grands sentiments qu’elle symbolise, il faut placer incontestablement l’amour pur. Mme Sand a voulu en faire la plus brillante expression de l’idéalisme dans la passion. Certes elle parle un magnifique langage quand elle s’écrie : « L’amour, Sténio, n’est pas ce que vous croyez ; ce n’est pas cette violente aspiration de toutes les facultés vers un être créé, c’est l’aspiration sainte de la partie la plus éthérée de notre âme vers l’inconnu.
  • Le goût du romanesque faux, c’est la maladie secrète et envahissante chez l’auteur d’Indiana. Mme Sand raconte dans ses mémoires que, jeune encore, elle s’était créé un personnage idéal qui la suivait partout et dont elle faisait le héros d’un roman perpétuel; elle lui avait donné le nom de Corambé. … Ajoutez quelques années, changez le nom; Corambé deviendra l’orageuse Lélia George_Sand,_ses_mémoires_et_son_théâtre
  • Karénine 1 « Voilà sous l’empire de quelles préoccupations secrètes j’avais écrit Lélia, » dit George Sand dans…
  • Karénine 1 : Ce qu’elle éprouva dans les derniers mois de 1833 ressemblait si peu aux pensées et aux sentiments de Lélia, qui George Sand ne s’y reconnut plus elle-même et dit, en parlant de ce roman : « Je crois que j’ai blasphémé la nature et Dieu peut-être dans Lélia ; Dieu qui n’est pas méchant et qui n’a que faire de se venger de nous, m’a fermé la bouche en me rendant la jeunesse du cœur et en me forçant d’avouer qu’il a mis en nous des joies sublimes[8]… »
  • Karénine 4 Lorsqu’on a lu ce chapitre viii des Impressions et souvenirs, on comprend encore mieux l’état de désespérance et d’effroi reflété par Lélia et Spiridion et auquel était livrée l’âme de la malheureuse ex-élève du Couvent des Anglaises, alors que ses croyances anciennes s’écroulèrent, et la nouvelle foi n’était point encore éclose en son âme.

Orthographe - vocabulaire[modifier]

  • calèbre
  • fidalgue
  • ame
  • appaise 7 et apaiser 1 occurrence
  • égoût, zône
  • blasphême et blasphème, diadême, anathême et 1 anathème
  • barette et barrette
  • long-temps
  • brillans, tourmens, instans, mouvemens, alimens, penchans, gouvernemens, enfans, indifférens, rugissemens, brûlans,...
  • commentation pour commentaire
  • glayeuls
  • remou
  • goëland poëte
  • grand’peine
  • privilége, piége, cortége
  • tout-à-l’heure
  • Cela m’énorgueillit
  • point là, ...
  • sanglottent
  • et ces autres bruits étranges, mystérieux, indécrits,
  • rhododendrum
  • Pauvres hommes, que savons nous => savons-nous
  • payenne.
  • s’entr’ouvraient
  • walse
  • alongeaient
  • ambiguité