Discussion:La Chambre tapissée

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http://books.google.co.in/books?id=p6QGAAAAQAAJ&redir_escȳ

Titre et date[modifier]

Notification Yann et Zyephyrus : bonjour, le titre La Chambre aux tapisseries et la date de 1831 que nous donnons ne correspondent pas à la source, qui me semble être The Tapestried Chamber-La Chambre tapissée, dans l'édition bilingue Ghost Stories-Histoires de fantômes, traduction Dominique Lescanne, Paris, Presses pocket, 2010. Existe aussi en e-book. Cordialement, Uuetenava (d) 4 septembre 2018 à 17:37 (UTC)[répondre]

Une erreur de ma part. Je me suis fié aux nombreux sites qui parlent de cette édition Presse pocket, et quasiment tous disent La Chambre tapissée. Je viens de vérifier en librairie : c'est La Chambre aux tapisseries, comme nous. J'ai aussi comparé la page 55 à la fin de notre texte : c'est bien notre texte. Uuetenava (d) 5 septembre 2018 à 16:03 (UTC)[répondre]


Fac-similé[modifier]

Pas de fac-similé disponible sur les sites Google Book, Gallica et Internet Archive à la date du 20 août 2020

--Le ciel est par dessus le toit Parloir 20 août 2020 à 16:31 (UTC)[répondre]

Pour mémoire[modifier]

fac-similés à intégrer : 2248
La Chambre aux tapisseries, le titre à été modifié mais il semble que ce soit le bon fs voir IA, si tu peux faire quelques sondages avant, pour confirmer les miens. A importer en entier

Il semble que la traduction de WS comporte des différences de celle d’IA (télécharger le texte d'IA et le placer à côté de celui de WS pour voir les différences.)

--Le ciel est par dessus le toit Parloir 21 mars 2023 à 13:28 (UTC)[répondre]

Notification Le ciel est par dessus le toit : La comparaison du début des deux texte montre qu'il s'agit de deux traductions différentes :

TEXTE WS  TEXTE IA
Introduction  INTRODUCTION.
Ceci est une autre petite histoire tirée du Keepsake de 1828. 
Elle me fut racontée il y a bien longtemps par feu Mlle Anna Seward, qui avait, parmi les nombreux talents qui faisaient d'elle une convive appréciée dans les maisons de campagne, celui de raconter des histoires de ce genre de façon saisissante – beaucoup plus, en effet, qu'on ne pourrait imaginer d'après le style de ses écrits.  Ceci est une autre petite histoire tirée du Keepsake de 1828. Elle me fut racontée il y a quelques années par feu miss Anna Seward, qui joignait à d'autres talents qui la rendaient une convive très-agréable dans une maison de campagne, celui de raconter des histoires de cette espèce en produisant un effet beaucoup plus grand qu'on ne pourrait le croire d'après le style de ses ouvrages écrits.
Il est des moments et des dispositions d'esprit où il ne déplaît pas à la plupart d'entre nous d'écouter de telles choses et j'ai constaté que certains de mes contemporains, parmi les plus savants et les plus sérieux, prenaient plaisir à les raconter.  Il y a des moments et des dispositions d'esprit où l'on n'est pas fâché d'écouter de pareilles choses, et j'ai vu quelques-uns de mes compatriotes, aussi recommandables par leur esprit que par leur bon sens, en raconter avec plaisir.
Août 1831  Août 1831.
L'histoire suivante est écrite, autant que la mémoire le permet, de la manière exacte dont elle a été racontée à l'auteur ; ce dernier ne mérite donc d'être loué ou blâmé qu'à mesure du jugement bon ou mauvais qui lui a fait choisir cette matière, car il a évité soigneusement d'ajouter quelque ornement qui pourrait nuire à la simplicité du récit.  L'histoire suivante est écrite dans le même style dont on se servit pour la raconter à l'auteur, autant que sa mémoire peut le garantir. Par conséquent, l'auteur ne mérite d'être loué ou blâmé que du bon ou mauvais goût dont il a fait preuve en choisissant ses matériaux, car il a évité soigneusement de mêler quelque ornement à la simplicité du récit.
En même temps, on doit admettre que cette catégorie particulière d'histoires, qui joue sur le merveilleux, laisse une empreinte beaucoup plus forte à l'écoute qu'à la lecture. Si l'ouvrage est lu à midi, il fait, bien que narrant les mêmes incidents, un effet bien moindre que celui qu'obtient le conteur, que l'on écoute au coin du feu, tenu en haleine par le narrateur, qui décrit en détail des incidents mineurs pour leur donner un air de vérité, et baisse la voix pour donner un aspect mystérieux quand il aborde la scène où l'horreur se mêle au merveilleux.  On doit admettre en même temps que les histoires appartenant à la classe particulière de celles qui ont le merveilleux pour objet, ont un bien plus grand pouvoir sur l'esprit quand elles sont racontées, que lorsqu'elles sont confiées à l'impression. Le volume parcouru à l'éclat de la lumière du jour, quoique contenant les mêmes incidents, cause une émotion beaucoup moins forte que celle qui est produite par la voix du narrateur, au coin du feu de la veillée, lorsqu'il dé- taille avec minutie les incidents qui augmentent l'authenticité de sa légende, et lorsque le son de sa voix s'affaiblit avec mystère au moment d'une catastrophe terrible ou merveilleuse.

--Cunegonde1 (d) 17 février 2024 à 14:11 (UTC)[répondre]

si ça ne te gène pas, tu vas l’importer quand même, il n’y a pas beaucoup de page, je transcrirai cette version et je la mettrai sur la page existante. (Le texte n’est pas très long) par contre signale bien qu’il ne faut pas faire de M&S sur l’espace livre. Merci Le ciel est par dessus le toit Parloir 17 février 2024 à 15:35 (UTC)[répondre]