Titre : | La Galanterie sous la sauvegarde des lois ; par P. Cuisin, auteur du n° 113 ou les catastrophes du jeu. |
Auteur : | P. Cuisin, auteur du texte. |
Éditeur : | Chez tous les marchands de nouveautés |
Date d'édition : | 1815 |
Type : | text |
Type : | monographie imprimée |
Langue : | français |
Format : | In-18, 156 p. |
Format : | Nombre total de vues : 168 |
Droits : | domaine public |
Identifiant : | ark:/12148/bpt6k15241134 |
Source : | Gallica, département Réserve des livres rares, Enfer-308 |
Notice du catalogue : |
(FR-BNF 30290533x) |
Provenance : | Bibliothèque nationale de France |
Date de mise en ligne : |
12/05/2019 |
informations sur cette édition[modifier]
- Voir la note dans la Bibliographie des ouvrages relatifs à l’amour... par le C. d’I*** (J. Gay), Bécour, 1897, T. 2, col. 373-374 : « Galanterie (la) sous la sauvegarde des lois, par P. Cuisin. Paris,
1815, in-18, avec une grande figure se déployant et représentant le petit lever des grisettes de Paris[1]. — Alvarès, en 1858, 3 fr. 50; Claudin, en 1880,12 fr.
Réimprimé sous le titre : Fastes, ruses et intrigues de la galanterie, ou Tableaux de l’Amour et du plaisir. Paris, 1834, 1836, in-18 de 138 p., 1 fig. — Alvarès, en 1861, 4fr.
— Description anecdotique et amusante du 113, fameux tripot et maison de plaisir du Palais-Royal. Le titre intérieur du texte est ainsi conçu : Description apologétique du premier sérail de la capitale. Destruction ordonnée par arrêt du 8 déc. 1835. » - Voir la note dans L’Enfer de la Bibliothèque nationale à la cote : 308. — La Galanterie sous la sauvegarde des lois, par P. Cuisin, auteur du No ou les catastrophes du jeu, Paris, chez tous les marchands de nouveautés, 1815.
1 volume in-18 de 156 pages. Frontispice pliant gravé et colorié, représentant deux scènes.
(Même ouvrage que : Les fastes, ruses et intrigues de la galanterie Paris, 1836, in-16).
C’est une description anecdotique, assez amusante, du No, fameux tripot et maison de plaisir du Palais-Royal.
La destruction de cette brochure a été ordonnée pour outrages aux bonnes mœurs, par arrêt de la Cour d’assises de la Seine, en date du 8 décembre 1835, acquittant les libraires Baudouin, Therry et Tesson, chez lesquels des exemplaires de l’écrit incriminé avaient été saisis (Moniteur du 7 novembre 1837).
La similitude des deux textes s’arrête à la page 152 de la Galanterie et page 125 des Fastes, ruses, où commence le récit des aventures de Sophie Beau-corps, qui se termine page 135, la fin est ensuite identique dans les deux versions.