Le Zend-Avesta (trad. Darmesteter)/Volume I/YASNA/Hâ11-1.

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Traduction par James Darmesteter.
Texte établi par Musée Guimet, Ernest Leroux (I. La Liturgie (Yasna et Vispéred) (Annales du Musée Guimet, tome 21)p. 109-114).




HÂ 11 — HÔM YASHT 3




« Jeter de l’encens sur le feu 1[1] »


Zôt et Râspî ensemble :


1. Il est trois êtres d’une sainteté manifeste qui crient malédiction 2[2] ; le bœuf, le cheval et Haoma.

Le bœuf crie contre son maître 3[3] :

Puisses-tu être sans enfants et de mauvais renom, toi qui ne fais point libéralité de moi 4[4] et ne m’engraisses que pour la femme, pour ton fils et pour ton ventre 5[5] à toi-même !
2 (7). Le cheval crie contre son cavalier :

Puisses-tu être impuissant à conduire, à monter, à retenir 6[6] les chevaux de guerre, loi qui ne pries pas pour que je sois rapide 7[7] dans la rencontre des multitudes, dans la mêlée des héros 8[8].
3 (11). Haoma crie contre celui qui doit le boire 9[9] :

Puisses-tu être sans enfant et de mauvais renom, toi qui me retiens sans me préparer 10[10], comme un voleur condamné à mort 11[11]. Pourtant je ne suis pas un (voleur) condamné à mort, moi, Haoma, le saint, qui éloigne la mort.
4 (16). Mon père, le saint Ahura Mazda, m’a assigné pour ma part, à moi Haoma, la mâchoire 12[12], avec la langue et l’œil gauche 13[13].
5 (17). Si quelqu’un me ravit, me dérobe ou m’enlève 14[14] la part que m’a

donnée le saint Ahura Mazda, [à savoir] la mâchoire, avec la langue et l’œil gauche ;
6 (18), dans sa maison ne naîtra ni prêtre, ni guerrier, ni laboureur 15[15]. Dans sa maison naîtront des êtres néfastes 16[16], des idiots 17[17] et des brouillons 18[18].


7 (20). Coupe-lui vite sa tranche de l’animal, part du robuste Haoma, de peur que Haoma ne t’enchaîne, comme il enchaîna le bandit touranien Frañhrasyan, au tiers central de la terre, bien qu’il fût enveloppé d’un fort d’airain 19[19].

8 (23). Et Zarathushtra dit :

Prière à Haoma, créé par Mazda ! Haoma, créé par Mazda, est bon. Prière à Haoma !

Le Vendidad Sadé intercale ici le Vispéred III, 1-5, qui appelle toute la communauté à assister à la consommation du sacrifice.

Le Zôt s’assied : « le Râspi prend dans la main gauche [le vase qui contient] le Parâhôm, se met à la place du Farbartâr 20[20], tient [le vase] à quatre doigts du Barsôm 21[21] et dit 22[22] » :

9 (24), Pour un de nous, deux de toi 23[23] ; trois et quatre ;
cinq 24[24] et six ; [sept] et huit 25[25] ; neuf et dix, venant de vous 26[26].


« Le Zôt tient la main [gauche] sur le lien 27[27] du Barsôm. Le Frabartàr 28[28] met le [vase à] Paràhôm dans la main droite du Zôt 29[29]. » Le Zôt, regardant le Parâhôm qui est dans le vase, dit :


10 (25). O saint Haoma, saint de nature, je te donne ce corps qui me semble si beau 30[30] ; à toi, le rapide Haoma, pour que j’aie science 31[31], paix de conscience 32[32] et sainteté 33[33].

Et toi, donne-moi, saint Haoma, qui éloignes la mort, le Paradis des justes, lumineux et bienheureux.


Le Zôt et le Râspî ensemble :


11. Ashem vohû… (3 fois).


Le Zôt soulève le Padân de sa bouche avec la main gauche, en ayant soin de ne pas la rendre impure, boit un tiers du Parâhôm et regarde vers le Râspî. Le Râspî jette de l’encens sur le feu et dit un Ashem vohù.

Le Zôt relève une seconde fois le Padân, boit la moitié du Parâhôm qui reste, et regarde vers le Râspî. Le Râspî jette de l’encens sur le feu et dit un Ashem vohù. Le Zôt relève une troisième fois le Padân, boit le reste du Paràhôra et regarde vers le Ràspî, qui, une troisième fois, jette de l’encens sur le feu et dit un troisième Ashem vohù.

Le Zôt lave trois fois le vase à Hôm, le remplit d’eau et le remet en place. Puis il se lave la bouche et l’essuie, et met la main droite sur le vase à Hôm et la main gauche sur le Barsôm 34[34]. Alors le Zôt et le Râspi récitent ensemble en Bâj le Khoshnûman, qui indique la destination du sacrifice (cf. page 2, note 5).

Le Zôt prend ensuite le vase à Hôm, rempli d’eau, et récite quatre Ashem vohù.


11. Ashem vohù : La sainteté est le bien suprême, et c’est aussi le bonheur. Bonheur à celui qui est saint de la sainteté suprême !


Au premier Ashem vohù, il verse une goutte d’eau sur la place où était le vase ; au second sur un pied du Mâhrû ; au troisième, sur l’autre pied ; au quatrième, il verse le tout dans le vase qui contient le vars. Puis, le vase vidé, il le retourne et le dépose près de l’assiette à jîvâm, au pied du Mâhrû 35[35] et dit le vasasca (Y. VIH, 5-8) :


Vasasca : Et puisses-tu, ô Ahura Mazda, régner heureusement et comme tu veux sur tes créations ! Comme tu veux sur les eaux, comme tu veux sur les plantes, comme tu veux sur toutes les bonnes choses, qui ont leur germe dans le Bien !


13. Donnez puissance au bon, impuissance au méchant !

Que le bon puisse ce qu’il veut et le méchant rien de ce qu’il veut !

Qu’il s’en aille ! qu’il soit détruit, emporté de la création de l’Esprit Bienfaisant ! contrarié, ne pouvant rien de ce qu’il veut !
14. Moi, Zarathushtra, je veux pousser les premiers de ces maisons, de ces bourgs, de ces districts, de ces pays, à penser, à parler, à agir conformément à cette religion, qui est celle d’Ahura, celle de Zarathushtra.


Zôt et Râspî ensemble :


15. J’appelle de mes vœux expansion et bien-être sur tout le monde du bien.

J’appelle de mes vœux angoisse et malaise sur tout le monde du mal 36[36].


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a


    duit zaninît, jaghàna, par assimilation de zînàt à janàt : zinàt est sans doute zi-nà-t (cf. sscr. ji-nà-ti, de jyâ) ; — terefyàt, tarftinît (le Glossaire zend-pehlvi définit tâyu, tereftâr ; probablement le grec τρέπ-ω, tourner, détourner) ; — apa yasàitè, barà skâcrùn « enlève » ; cf. Minokhard, II, 46, al sôcrûn ma apar.

  1. 1. Pt4 : bôî ol àtâsh yahhùnishn.
  2. 2. âfrivacanhô zavainti ; P. âfrîn gavishnîh rapînd… aîgh nafrîn obdûnand ; N. âçirvacasâ àkroçayanti kila çâpam kurvanti « crient avec parole de souhait, c’est-à-dire maudissent » (âfri, quoique signifiant généralement « bénir », est le souhait, neutre entre la malédiction et la bénédiction ; — rapînd, pris par quelques copistes pour un dérivé de raftan « aller » et par suite abusivement remplacé par sâtùnand, signifie « ils crient », àkroçayanti ; faut-il lire ravînd ? cf. sanscrit védique ru. — zavainti « crier » est du verbe qui a donné zaotar, nom du prêtre qui récite.
  3. 3. zaotârem, homonyme de zaotar « prêtre », signifie « maître, possesseur » (tr. persane, çâhih) ; il signifie littéralement « celui qui prend, grihîtâram », d’un verbe zu « prendre », qui est traduit vakhdûn et se retrouve dans zazva « a pris » (vokhdûnt), zazusha « prendra » (vakhdûnît) ; cf. zavô, Y. XXXIII, 12 b.
  4. 4. yô màm hvàstâm nôit hakhshahi « qui ne me donnes pas comme valeur d’argent » (khvâstak) « aux gens de bien » (arzdnîgân ; autrement dit qui ne me donnes pas en don de piété, en ashô-dâd).
  5. 5. marshuyào, dushtodarâya (N.).
  6. 6. aurvatàm yukhta…, aiwishasta…, nithakhta ; yukhta : P. ayûkhtâr, N. vahayitar « qui fait courir » (aîghat tàkhtan al tavân yahvûnât) ; nishasta, madam yatîbûnist ; nithakhta, …lakkvâr dàshtan al tavân yahvûnât.
  7. 7. yù màm zàvare nôit jaidyêhi ; dans les morceaux épiques, les héros, au moment de la bataille, dans leurs prières aux dieux, demandent spécialement l’agilité pour leurs chevaux : zàvare jaidkyaùtô hitaèihyô (Yt. V, 53 ; cf. Yt. X, 11, et Y. X, 22, 71).
  8. 8. pourumaitê, kabad mat yakôyamûnit ; maitê est donc pour * gmaitê (perse gmata) ; karshyào, kartkâr, synonyme de kâr « affaire, bataille ». Le sens littéral est : « dans la rencontre, où beaucoup viennent, de la bataille des héros nombreux ».
  9. 9. Littéralement >c son buveur », c’est-à-dire « celui qui devrait le boire et ne le boit pas », le mauvais prêtre. Les deux malédictions précédentes s’adressaient au laboureur et au guerrier.
  10. 10. aiwish-lmtein dàrayêhi, man li barâ min hûnishn yakhsanûnîh « qui me retiens de préparation » ; le sens négatif est dans dàrayêhi.
  11. 11. peshù-sàrem, pûrtak rôishâ, probablement « qui paie de sa tête » (cf. peshotanu, tanu-peretha) ; le Ms. J2 a bûrîtak rôishâ « à qui on tranche la tête ». Glose : « de même qu’on ne glorifie pas un voleur condamné, toi non plus tu ne me glorifies pas ». Cette comparaison bizarre s’explique peut-être par le passage X, 17, 54, où Haoma paraît prisonnier « dans le lien des Jainis ».
  12. 12. hanuharenê, traduit êrvârak, persan {{persan}} arvâra « mâchoire » : hańuharena est sans doute * ha-hvarena, de hvar « manger », c’est-à-dire ce qui mange, la mâchoire. Certains Rivâyats persans rendent à tort arvâra par gôshî cap « l’oreille gauche » (Grand Riv. 598).
  13. 13. C’est-à-dire que quand on immole une victime en l’honneur de Haoma, sa part est la mâchoire avec l’oreille droite et l’œil gauche. — Voir dans le Shâyast là Shâyast, XI, 4, l’énumération des diverses parties de la victime qui reviennent aux différentes divinités.
  14. 14. Il ne s’agit plus ici du prêtre, mais du fidèle quel qu’il soit. — zînât est tra-
  15. 15. Non point que dans une maison puisse naître indifféremment un prêtre, un guerrier ou un laboureur ; le sens est : quelle que soit la classe du coupable, il n’aura point d’enfant.
  16. 16. dahakàca : zak dahishn kàkînîtàr, man dahishn i Aukrmazd barâ kàhïnit « des destructeurs de la création, qui détruisent la création d’Auhrmazd. La traduction pehlvie semble être de fantaisie étymologique, dahishn étant suggéré par dah ; mais kâhinîtâr doit être exact, comme sens général, sinon comme sens propre.
  17. 17. mùrakàca, mûtak kartâr aigh mandùm tapâh barâ obdûnand ; mûtak, qui traduit aussi maodhana Y. IX, 32 (101), est rendu en sanscrit manda « faible, faible d’esprit ».
  18. 18. pouru saredhô-varsbnàca, pûr sartak varzîtâr, litt. « des hommes qui font des actions de toute sorte », c’est-à-dire « qu’ils entreprennent beaucoup de bonnes œuvres, mais n’en font aboutir aucune ».
  19. 19. Allusion à la légende de la fin de Frañhrasyan (Afrâsyâb), dont des débris archaïques se retrouvent dans les Yashts V, 41-42, XIX, 56 sq., dans le Grand Bundahish et l’Aogemaîdê et qui parait, sous une forme plus cohérente, mais moins fidèle, dans le Livre des Rois. Frañhrasyan, beau-père et meurtrier de Syàvarshâna, pourchassé par son petit-fils Husravah, qui poursuit sur son grand-père la vengeance de son père, se construit par la magie un palais d’airain, aux cent colonnes, haut de mille fois la taille humaine : « Il était si bien illuminé que la nuit y était claire comme le jour ; il y coulait quatre ruisseaux, d’eau, de vin, de lait et de petit-lait (mâst). Il y avait fixé et mis en mouvement une sphère du soleil et de la lune » (Grand Bundahish, p. 245 ; cf. Aogemaidê, 60). Tel le palais des Chosroès à Shiz-Ganzak, où la statue royale semblait trôner dans le ciel, parmi les images du soleil, de la lune et des étoiles et au milieu de pluies et de tonnerres artificiels (Cedrenus, éd. Xylander, p. 338, ap. H. Rawlinson). De sa retraite, Afrâsyàb s’élance trois fois, mais en vain, dans la mer Vouru-Kasha pour s’emparer du Hvarenô des Aryens (Y. I, notes 2, 54 ; Yt. V, 41-42 ; XIX, 56 sq.). Dans le Livre des Rois, le palais de fer souterrain, aux cent colonnes, est réduit aux proportions d’une chambre élevée, taillée dans une caverne, et où il se réfugie après ses défaites, pour échapper à son petit-fils. Cette caverne est située près du lac Khanjast {{persan}}[en écriture {{arabe}} ?] (lire Cêjast {{persan}}[en écriture {{arabe}} ?] ; zend Caêcasta ; le lac Urumia ; voir Y. XVII, Appendice II). Mais dans la montagne habite un hermite, nommé Hôm (le même hermite qui a sauvé l’enfant Feridùn ; voir Y, IX, note 20) : un jour Hôm entend des plaintes qui s’échappent de la caverne ; il écoule, reconnaît Afrâsyâb, descend dans l’antre et l’enchaine avec le cordon sacré qu’il portait autour des reins. — Cf. Yt. XIX, 77 texte et note, et Études iraniennes, II, 225-229.
    madhemê thvishvê « au second tiers », c’est-à-dire profondément sous terre, juste au milieu en profondeur. — pairish-hvakhtem ayañha ; le premier terme est traduit hypothétiquement d’après le sanscrit ; le mot pehlvi correspondant dans la traduction est perdu.
  20. 20. A la gauche du Zôt. Litt. « le porte à la place du Farbartâr ».
  21. 21. En suppléant min devant Barsôm ; le sens littéral du texte sans min est : « tient le Barsôm dans quatre doigts », ce qui est en désaccord avec les indications qui suivent.
  22. 22. Râspîg Pardhôm pun yodâ hôi madam vakhdûntan ; pun gâsi Farbartârân yadrùnishn ; dar 4 angùst barsôm yakhsanûniskn, barâ gavishn.
  23. 23. Formule mystérieuse. Nériosengh, plus clair ici que le pehlvi, semble entendre que Haoma paie la bonne œuvre au double, au triple, etc. : « ce qui de nous est un, c’est-à-dire le bien que fait l’homme, peut être reçu au double, au triple, au quadruple, au quintuple, au sextuple, au septuple, à l’octuple, au nonuple, au décuple sous la forme du bien qui vient de vous » (de Haoma ; voir X, 6 et note 57). Le pehlvi a également une série de nombres uniformes, sans tenir compte de la symétrie des formes qui semblent s’opposer deux à deux : [aêvô-uyê], thrâyô-dyài-tùrahê, mañdàidyài-khshvîdhem, haptàzhdyâi-[ashtemê ? ], nava-dasemê ; mais il entend : « le bien que fait un Dastûr », ce qui donnerait une autre direction au sens, à savoir : « le bien que fait un seul homme d’entre nous (yù aêvô nô, c’est-à-dire le prêtre officiant) est payé à deux, à trois, à quatre… » c’est-à-dire à toute la communauté qui vient d’être invitée au sacrifice (Vp. III ; v. s. § 8).
  24. 24. mandàîdyài, forme énigmatique ; peut-être due, comme suppose M. Mills, à une simple erreur paléographique pour * pandàidyài. La difficulté est moins dans la substitution de m à p que dans la chute de la gutturale : on attendrait au moins * màzhdâidyâi. Cf. Y. XLIV [XLIII], 8. cf. p. 289, n. 23.
  25. 25. Suppléer dans le texte zend ashtemê ; pehlvi asht-arîn (N. ashtagunam).
  26. 26. yôi vé yaêthma : P. man aman min lakûm mat yakoyamûnît danâ nivakîh ; N. yushmattas prâptam astiidam çubham. — Cf. Y. 28, 9 b, note 35.
  27. 27. bandi ; on pourrait lire bûni, la racine, la partie qui commence, c’est-à-dire celle qui dans l’arbre était plus proche du tronc.
  28. 28. Le Râspî, jouant le rôle de Farbartâr (v. page 112, § 8).
  29. 29. Zôt yadâ pun bandi Barsom frâj yakhsanûnishn. Farbartâr Parâhôm lâlâ ol yadâ dashani zôt anakhtûnishn. Zôt.
  30. 30. Voir Y. X, 14, 40, note 44.
  31. 31. « Autant de science qu’en a Haoma » (N.).
  32. 32. havanhài ; hû-ahùîh nîvagdilîh « bonne conscience, c’est-à-dire courage de cœur » ; la lecture nîvagdilîh et le sens qu’il y faut attacher sont donnés par le passage analogue du Y. LXII, G [LXI, 17], où havanhê est rendu hû-ahûîh nîvagdilîh pun cihnvatarg « le courage devant le Pont Cinvat » (le pont qui conduit l’âme au Paradis ou à l’Enfer). Cf. Vd. XVIII, 6, 16, où hû-ohûîh est rendu tag-lababâîh « force de cœur ». — havañha hav-añha de hu ah[u].
  33. 33. ashavastâi, la condition de saint et la félicité céleste qui s’y attache.
  34. 34. Les manuscrits liturgiques résument toutes ces opérations dans ces mots : « Récitation des Srîshâmrûtîg (c’est-à-dire des trois Ashem vohù) ; boire à trois reprises le Parâhôm ; à chaque fois le Râspîg récite un Ashem vohù ; le Zôt se rince la bouche, se lave les mains et les met sur le Barsôm » (ce dernier trait diffère de l’indication moderne. — Vacist Srîshâmrûtîg gaviskn ; u Parâhôm pun 3 bâr vashtamûntan ; kulâ bâr Râspîg Ashem vohûk gûftan ; Zôt pumâ dakyâ kartan u yadà kulâ 2 pun pâtyâp kartan, madam Barsôm anakhtûntan).
  35. 35. Ces opérations indiquent sans doute que le rôle de Hôm est terminé pour l’instant.
  36. 36. Ici se placent dans le Yendidad Sadé les §§ 6-7 du Vispéred III (Sp. III, 3031 ; IV).