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Page:Œuvres de Descartes, éd. Cousin, tome V.djvu/409

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Livre Troisième.

car est est est et est de façon que

Et tirant les racines de ces deux équations, on trouve toutes les mêmes, que si on les tirait de celle où est à savoir on en trouve vue vraie, qui est et trois fausses, qui sont

Ainsi ayant

pourceque la racine de

est derechef il faut écrire

et

Car ici

Et pourcequ’on ne trouve aucune racine, ni vraie, ni fausse, en ces deux dernières équations, on connaît delà que les quatre de l’équation dont elles procèdent sont imaginaires ; et que le problème, pour lequel on l’a trouvée, est plan de sa nature ; mais qu’il ne saurait en aucune façon être construit, à cause que les quantités données ne peuvent se joindre[1].

Tout de même ayant

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