Page:Œuvres de Descartes, éd. Cousin, tome V.djvu/526

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Pourquoi l’eau étant convertie en vapeur occupe incomparablement plus d’espace qu’auparavant. 169
Comment les mêmes vapeurs peuvent être plus ou moins pressées. 170
D’où vient qu’on sent quelquefois en été une chaleur plus étouffante que de coutume. 171
Comment les vapeurs sont plus ou moins chaudes ou froides. 172
Pourquoi l’haleine se sent plus chaude quand on souffle ayant la bouche fort ouverte que si on l’a presque fermée. ibid.
Pourquoi les vents impétueux sont toujours froids. 173
Comment les vapeurs sont plus ou moins transparentes. ibid.
Pourquoi notre haleine se voit mieux l’hiver que l’été. ibid.
Que souvent il y a dans l’air le plus de vapeurs lorsqu’on les y voit le moins. ibid.
Comment les mêmes vapeurs sont plus ou moins humides ou sèches, et comment une même se peut dire en divers sens plus sèche et plus humide qu’une autre. 174
Quelles sont les diverses natures des exhalaisons. ibid.
Comment elles se démêlent et séparent des vapeurs. 175


DISCOURS TROISIÈME.
DU SEL.


Quelle est la nature de l’eau salée, et que les parties de l’eau sont telles qu’il a été dit. 177
Pourquoi les corps mouillés d’eau sont plus aisés à sécher que ceux qui sont mouillés d’huile. ibid.
Pourquoi le sel a un goût si différent de celui de l’eau douce. 178
Pourquoi les chairs se conservent étant salées. ibid.