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Page:Andry - Traité des aliments de carême, 1713, tome I.djvu/549

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niere de le faire cuire pour être plus sain, 248. Il se mêle avec plusieurs sortes d’alimens, ibid. Gens à qui il n’est pas propre, 249. Maladie où on s’en sert, ibid.
Mayer. Sentiment de ce Medecin sur la nature de la Macreuse, 445. 454. 456.
Marsouin. Animal dont le sang est chaud & abondant, 479.
Merlan. Description de ce poisson, 319. De quoi il se nourrit, ibid. Sa chair est la plus legere de tous les poissons, ibid. Diverses manieres de l’apprêter, 320.
Merluche ou Moruë séche. Qualité de ce poisson, 352. Elle ne convient qu’aux bons estomacs, ibid.
Meusnier. Méchante qualité de ce poisson, 370. Pourquoi ainsi nommé, ibid.
Millet. Pourquoi le millet se digere mal-aisément, 31. Description de ce grain, 121. Sa qualité, ibid. Il est autant médicament qu’aliment, 122. Le pain en est de dure digestion, ibid.
Morhuë ou Moluë. D’où ce poisson a pris son nom, 351. sa description, 352. sa bonté avant que d’être salée, ibid. Manieres differentes de l’apprêter, ibid.
Mouette. Difference de cet oiseau & de la Macreuse, 422.
Moules. Celles de riviere sont les meilleures, 333. Leurs qualitez, & la maniere de les apprêter, 334. Elles sont en usage dans la Medecine, ibid.
Mundius. Sentiment de ce Medecin sur la bonté des féves, 98.