Page:Annales de mathématiques pures et appliquées, 1823-1824, Tome 14.djvu/306

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relation qu’on peut encore mettre sous cette forme

ou, en intégrant par parties,

[1]

Soit, par exemple, l’équation

dans laquelle on suppose

étant la constante arbitraire. En différentiant cette équation, il viendra

En mettant dans la proposée et sa différentielle pour et leurs valeurs en et éliminant ensuite entre les deux équations résultantes, on aura, toutes réductions faites,

équation qui peut être mise sous cette forme

  1. Ce résultat avait déjà été obtenu par M. Woisard ; dans un mémoire qu’à raison de l’abondance des matières nous avons été contraint d’abréger en le publiant.
    J. D. G.