Page:Annales de mathématiques pures et appliquées, 1826-1827, Tome 17.djvu/253

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(5), et de nature à pouvoir en être déduites par une détermination convenable des constantes et

Soit étant des nombres entiers positifs, et supposons que la nature et la situation respective des trois proposées soient telles que, parmi leurs m^3 ou points d’intersection il s’en trouve qui soient situés sur les lignes d’intersection de deux surfaces des pième et tième ordre ; ces points pourront ainsi être obtenus par la combinaison de l’une quelconque des équations (1), (2), (3) avec deux équations rationnelles, des pième et tième degrés ; puis donc que tous les points d’intersection de ces trois surfaces sont obtenus par la combinaison de la même équation avec les équations (4) et (5) ; il s’ensuit que les premiers membres de ces dernières doivent, pour des valeurs convenables de et acquérir respectivement des facteurs rationnels et des pième et tième degrés ; ces premiers membres devront donc avoir, dans ce cas, d’autres facteurs rationnels et des qième et uième degrés respectivement ; c’est-à-dire que ces équations reviendront à

ce qui donne ces quatre combinaisons

à chacune desquelles joignant une quelconque des trois équations proposées, on obtiendra la totalité des points d’intersection de nos trois surfaces, lesquels se trouveront ainsi au nombre de sur les lignes d’intersection de deux surfaces des pième et qième ordre, au nombre de sur les lignes d’intersection de deux autres surfaces des qième et uième ordre, au nombre de sur les lignes d’intersection des deux surfaces des pième et uième ordre, et enfin au nom-