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Page:Annales de mathématiques pures et appliquées, 1827-1828, Tome 18.djvu/119

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équation qui revient à la précédente[1].

Séparateur
Démonstration de ce théorème et de quelques
autres, ainsi que de leurs analogues relatifs
au tétraèdre ;

Par M. Vallès, élève ingénieur des ponts et chaussées.
≈≈≈≈≈≈≈≈≈


Théorème I. Les parallèles à deux des côtés d’un triangle, menées par un quelconque des points du troisième, partagent ce triangle en deux autres et et un parallélogramme tels qu’on a

Démonstration. Soit (fig. 2) le triangle dont il s’agit ; Soit un point pris arbitrairement sur le côté de ce triangle, par lequel on a mené les parallèles à ses deux autres côtés, se terminant à ces mêmes côtés. Ces parallèles diviseront le triangle en deux autres que nous représenterons respectivement par et en un parallélogramme que nous représenterons par Posons en outre

  1. Plusieurs élèves du collège royal de Montpellier, auxquels le théorème a été proposé, l’ont démontré de l’une et de l’autre manière. Il est dû à l’élèye Ch. Sicard, du collège de S.te-Barbe, à Paris, qui a démontré en outre que
    J. D. G.