Page:Annales de mathématiques pures et appliquées, 1829-1830, Tome 20.djvu/110

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dens seraient tangens, on parviendrait, de proche en proche, par les moyens que nous avons indiqués, à construire par points la dernière caustique ; de sorte qu’on peut regarder les équations (5) et (6) comme propres à faire connaître par points la caustique résultant de tant de réfractions successives qu’on voudra.

Pour nous borner à un cas des plus simples, et qui offre pourtant d’utiles applications, supposons deux surfaces séparatrices seulement, en désignant par la distance du nouveau point d’incidence au point où le second rayon incident touche la seconde développée oblique, par le rayon de courbure de la nouvelle courbe séparatrice au point d’incidence, par la longueur du rayon doublement réfracté, comptée du point de seconde incidence jusqu’à son point de contact avec la troisième développée oblique, et enfin par et les angles de seconde incidence et de seconde réfraction, dont nous supposerons les sinus proportionnels à et , nous aurons (5) et (7) les quatre équations

on tirera des deux dernières