Page:Annales de mathématiques pures et appliquées, 1829-1830, Tome 20.djvu/138

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ces trois là ; et convenons encore ici de désigner la longueur de chaque perpendiculaire par la lettre minuscule qui correspond à la majuscule qui désigne le point d’où elle part.

La droite étant une diagonale commune à trois parallélogrammes, dont les secondes diagonales sont on doit avoir (Théorème I),

(1)

Mais dans les trois parallélogrammes qui concourent au sommet on a aussi (Théorème I)

(2)

ajoutant deux équations correspondantes quelconques, dans les deux groupes (1) et (2), il viendra, en réduisant,

(3)

comme l’annonce la première partie du théorème.

Si, ensuite de la somme des équations (1), on retranche l’équation (3), il viendra, en réduisant,

comme l’annonce la seconde partie du théorème.

Donc aussi, si tant de parallélipipèdes qu’on voudra ont une diagonale commune, et que, par l’une des extrémités de cette dia-