Page:Annales de mathématiques pures et appliquées, 1829-1830, Tome 20.djvu/141

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mais on sait que

donc, en substituant,

iv. Soient l’une des diagonales d’un parallélipipède et les trois arêtes de ce parallélipipède qui concourent à l’une de ses extrémités ; par cette extrémité conduisons, arbitrairement, dans l’espace, trois axes rectangulaires ; et soient alors respectivement les extrémités des droites nous aurons (Théorème II)

en prenant la somme des quarrés de ces équations, il viendra

mais on sait que

donc, en substituant,

[1]
  1. Nous avons déjà donné, par une analyse fort simple, à la pag. 51 de notre ix.me volume, en fonction des trois arêtes d’un même angle d’un parallélipipède et des angles qu’elles forment deux à deux, non seulement la