9 (21). L’Esprit Bienfaisant m’a prononcé cette parole, pour toutes les créations du Bien, présentes, passées, futures, afin qu’elles agissent en toute action au monde y5o ;<ril/«c(/a(shyaothenanâm anhéush Mazdài) ^'.
10 (24), Et c’est la parole suprême entre toutes les paroles qui jamais ont été dites, sont dites, et seront dites : c’est une parole si puissante que tout le monde des corps, s’il l’apprend et l’ayant apprise la retient, est préservé de la mort^L
12 (28). La phrase yathà dit qu’il faut prendre un Seigneur et un Maître (ahûmca ratûmca) et enseigne qu’Ahura Mazda fut tel pour les créatures qui les premières ont pensé [au bien]
La phrase yathâ^^ enseigne qu’il est le plus grand des êtres ; la phrase athâ^’ fait de lui celui qui enseigne les créatures
Spentas ». On serait disposé à traduire apè comme aipi, après : « après la création des Amesha-Speàtas ».
31. CitatioQ de la prière : deuxième vers.
32. « L’homme qui le récite dans le sacrifice devient immortel » (Comm. P.).
36. Voir plus haut, page 162.
37. Gayomart et les premiers hommes (voir note 65).
38. yalhàaliù vairyù : « comme il est le Seigneur tout-puissant » (v. page 162) ; il est dans le monde ce que le Roi des Rois est parmi les hommes ; voir la note suivante.
39. allia ratusli : « Ainsi est-il le maître spirituel » (v. page 162). Cf. Dinkart, IX, 47 : « Celui qui se livre comme serviteur au Dahyûpal (dans le Comm. P. arf § 36 : malkàân malkà) et comme disciple au JÜastôbar, celui-là fait soumission à .\uhrmazd comme l’ont fait les premières créatures » [ash andar Auhrmazd êrili, cigkn farlîiin dàm kart, kart ijahvûnêt, man tan pun bôndakik ol olà i üalujàpal, pun /idvislitî/i ol oldî din-dastôbar yakbûnêt).
40. atliâ abiuài dàinâii clnastl ; litt. « atbà enseigne en lui les créatures ». cliiasli dans tout ce commentaire verbal,, est très difficile à traduire ; car tantôt il désigne le sens du mot commenté et revient presque à « c’est-à-dire » ; tantôt il est pris, comme ici, au sens propre d’enseigner.
- ↑ 33. Glose : « La Religion » (c’est-à-dire l’ensemble des paroles divines) ; selon Miyàn-dât, ce Fargard « (c’est-à-dire l’Ahuna Vairya). C’est Miyàn dàt qui est dans le vrai, puisque tout le chapitre est consacré à la glorification de l’Ahuna Vairya.
- ↑ 34. Dans le sacrifice : « c’est quand on le récite dans le sacrifice que l’âme devient immortelle ».
- ↑ 35. ashàt haca yaṭ vahishtàt ; rappelle ashàṭeit hacâ du premier vers.