Gaydon, p. 35 :
« Sire vassal, mal faites et pechié,
« Quant vos le duc blasmez ne laidengiez. »
S’ele gehist, mar fu ses gens cors nés !
Huon de Bordeaux, p. 95 :
Se ne volés à son gent cors parler.
P. 153, v. 8 : pesme renoié, eré, du texte de Venise, est sans doute là pour hérétique, qui en vieux français était herege ou érite.
P. 153, v. 22 : dolereuse vengeance.
Si averés un dolerous loier.
(Moniage Rainouard, ms. de Boulogne-sur-Mer, fol. 181 r°, col. 2.)
P. 154, v. 16 et 17 :
On lit ces deux vers ainsi dans le manuscrit. Il y manque évidemment un verbe (je suis allé) pour en compléter le sens.
Bien ert Kallon vos mesages contés.
Aliscans, p. 72, v. 25 :
Au roi sera mes mesages contés.
Congé demande et si s’en torne arier.
Huon de Bordeaux, p. 72, v. 24 :
Dont s’en torna s’a congié demandé.
P. 159, v. 13 : Jerusalan, ou Jerusalant, comme dans ce vers d’Aspremont :
Et Moydas qui tint Jerusalant.
(Ms. fr. 2495, fol. 93 r°.)