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Page:Armagnac - Quinze Jours de campagne, 1889.djvu/163

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inquiétées par Steinmetz et Manteuffel et qui, bien qu’à notre avantage, n’eut pour nous aucun résultat. Elle profita même à l’ennemi en retardant notre mouvement en arrière. Pendant ce temps, en effet, l’armée. prussienne, décrivant un immense arc de cercle, venait se placer en grande partie entre Metz et Paris.

Tandis que les Allemands pressaient fiévreusement leur marche, les Français n’avançaient qu’avec une lenteur désespérante. On ne savait pas profiter des diverses routes que l’on avait à sa disposition, et un