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TABLE DES MATIÈRES.


Chap. VII. Le vers est composé d’un nombre déterminé de pieds, comme le pied l’est d’un nombre déterminé de syllabes.
VIII. Noms des divers pieds.
IX. De la construction des pieds.
X. L’amphibraque, soit seul, soit mêlé à d’autres pieds, ne peut former de vers. Du levé et du posé.
XI. Du mélange rationnel des pieds.
XII. Des pieds de six temps.
XIII. Comment on peut changer l’ordre des pieds sans troubler l’harmonie.
XIV. Des pieds susceptibles de se mêler entre eux.

LIVRE TROISIÈME.
Chapitre premier. Définition du rhythme et du mètre.
II. De la différence entre le mètre et le vers.
III. Du rhythme composé de pyrrhiques.
IV. Du rhythme continu.
V. Y a-t-il des pieds de plus de quatre syllabes ?
VI. Aucun pied de plus de quatre syllabes ne peut constituer un rhythme qui porte son nom.
VII. De l’espèce et du nombre des pieds qui constituent le moindre mètre.
VIII. De la valeur des silences dans les mètres. — Définition du mètre.
IX. Du nombre de temps et de pieds auquel s’arrête le mètre.

LIVRE QUATRIÈME.
Chapitre premier. Pourquoi la dernière syllabe d’un mètre est-elle indifférente ?
II. Du nombre de syllabes dont se compose le moindre mètre pyrrhique. — De la durée du silence qu’il comporte.
III. Variétés du mètre pyrrhique.
IV. Du mètre iambique.
V. Du mètre trochaïque.
VI. Du mètre spondaïque.
VII. Du tribraque : combien de mètres peut-il former ?
VIII. Du dactyle.
IX. Du bacchius.
X. Que faut-il ajouter, avant le silence, à un pied déjà complet ?
XI. L’iambe ne va pas bien après le ditrochée.
XII. Total des mètres.
Chap. XIII. Méthode pour battre la mesure des mètres et pour interposer les silences.
XIV. Suite de l’interposition des silences dans la mesure des mètres.
XV. Suite de l’interposition des silences dans le mètre.
XVI. Du mélange et de l’assemblage des pieds.
XVII. De la combinaison des mètres.

LIVRE CINQUIÈME.
Chapitre premier. Différence du rhythme, du mètre et du vers.
II. Les mètres susceptibles de se diviser en deux parties sont plus parfaits que les autres.
III. Étymologie du mot vers.
IV. De la fin du vers.
V. Fin du vers héroïque.
VI. Suite du chapitre précédent.
VII. Comment peut-on ramener à l’égalité le nombre inégal des demi-pieds dans chaque membre ? Du rapport d’égalité entre les membres de 4 et de 3 demi-pieds, de 5 et de 3 demi-pieds.
VIII. Rapport entre les membres de 5 et de 7 demi-pieds.
IX. Des membres composés de 6 et de 7 demi-pieds, de 8 et de 7, de 9 et de 7.
X. De l’excellence des vers de six pieds : perfection incomparable du vers bernique et iambique, parmi les vers de six pieds.
XI. De la manière la plus exacte de mesurer les vers de six pieds.
XII. De la raison pour laquelle les vers senaires sont supérieurs à tous les autres.
XIII. Épilogue.

LIVRE SIXIÈME.
Chapitre premier. De la fin qu’on s’est proposée dans les livres précédents.
II. De l’harmonie dans les sons : de ses différentes espèces, des rapports harmoniques, selon qu’ils existent dans le son ou qu’ils résultent de l’impression de l’oreille.
III. Des rapports d’harmonie qui naissent de la prononciation ou qui se conservent dans la mémoire.
IV. Des rapports d’harmonie qui se rattachent au jugement : quelle est, parmi les différentes espèces d’harmonie, la plus parfaite ?
V. L’âme est-elle modifiée par le corps ? Comment sent-elle ?
VI. Les trois dernières espèces de nombre : ordre et nom de toutes les espèces.