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TABLE DES MATIÈRES.


Chap. III. La prescience de Dieu ne nous ôte point la liberté de pécher.
Chap. IV. La prescience de Dieu ne force pas au péché, et conséquemment c’est avec justice que Dieu punit les pécheurs.
Chap. V. On doit même louer Dieu d’avoir produit les créatures exposées au péché et à la souffrance.
Chap. VI. Dire qu’on préfère le néant à la misère, c’est n’être pas sincère.
Chap. VII. Les malheureux mêmes chérissent l’existence, parce qu’ils viennent de Celui qui existe souverainement.
Chap. VIII. Nul ne choisit le néant, pas même ceux qui se donnent la mort.
Chap. IX. L’état misérable des pécheurs contribue à la beauté de l’univers.
Chap. X. De quel droit le démon régnait-il sur l’homme ? — De quel droit Dieu nous a-t-il délivrés ?
Chap. XI. Qu’elle doive persévérer dans la justice ou pécher, toute créature contribue à la beauté de l’univers.
Chap. XII. Quand même tous les anges auraient péché, ils n’auraient apporté aucun trouble dans le gouvernement du monde.
Chap. XIII. La corruption même de la créature et le blâme jeté sur ses vices en font éclater la bonté.
Chap. XIV. Toute corruption n’est pas condamnable.
Chap. XV. Défauts coupables et défauts non coupables.
Chap. XVI. On ne peut faire retomber nos péchés sur Dieu.
Chap. XVII. Le péché a sa cause première dans la volonté.
Chap. XVIII. Y a-t-il péché dans un acte qu’il est impossible d’éviter ?
Chap. XIX. Vaines excuses des pécheurs quand ils prétextent l’ignorance et la difficulté produites par le péché d’Adam.
Chap. XX. Il n’est pas injuste que les défauts, suites pénales du péché, soient transmis à la postérité d’Adam, quelle que soit l’opinion vraie sur l’origine des âmes.
Chap. XXI. Quelle sorte d’erreur est pernicieuse ?
Chap. XXII. L’ignorance et la difficulté fussent-elles naturelles à l’homme, il y a encore sujet de louer le Créateur.
Chap. XXIII. Mort des enfants. — Plaintes injustes des ignorants au sujet des souffrances qu’ils endurent. — Qu’est-ce que la douleur ?
Chap. XXIV. Le premier homme n’a pas été insensé, mais capable de devenir sage. — Qu’est-ce que la folie ?
Chap. XXV. Quelles idées frappent la nature raisonnable lorsqu’elle se tourne au mal ?

Traduit par MM. CATULEUX et THÉNARD.


LIVRE PREMIER.
Des Mœurs de l’Église catholique.

Chapitre premier. L’art de déterminer la juste étendue des sons dépend de la musique et non de la grammaire.
II. Définition de la musique et de la modulation.
III. Qu’entend-on par bien moduler et pourquoi ce mot est-il nécessaire à la définition ?
IV. En quoi le mot science entre-t-il nécessairement dans la définition de la musique ?
V. Le sentiment musical vient-il de la nature ?
VI. Les chanteurs de théâtre ignorent la musique.
VII. Des termes longtemps et non longtemps.
VIII. Du temps plus ou moins long dans le mouvement.
IX. Des mouvements rationnels ou irrationnels, connumérés ou dinumérés.
X. Des mouvements compliqués et sesquialtères.
XI. Comment on mouvement et un nombre sont bornés dans leur accroissement à l’infini et reçoivent une forme déterminée. — Système décimal.
XII. Pourquoi, dans la numération, va-t-on de 1 à 10 et revient-on de 10 à 1 ?
XIII. Du charme des mouvements proportionnés, en tant qu’il est apprécié par l’oreille.

LIVRE DEUXIÈME.

Chapitre premier. Points de vue différents du grammairien et du musicien dans l’appréciation de la quantité des syllabes.
II. Le grammairien juge d’un vers d’après l’autorité, le musicien, d’après la raison et l’oreille.
III. Durées des syllabes.
IV. Des pieds de deux syllabes.
V. Des pieds de trois syllabes.
VI. Pieds de quatre syllabes.